Adjugé 6800 EUR Broche pendentif Art nouveau en or jaune (750), ciselée d'une femme vêtue d'un léger drapé retenant un diamant taillé en poire au-dessus de sa tête,
Adjugé 15 000 EUR Importante broche en forme de fleur à cinq pétales ornée d'une perle fine de mandarin encadrée de cinq rubis,
Adjugé 13 500 EUR Rare pendentif "Belle Époque" en platine finement ajouré de deux volutes feuillagées, guirlandes,...
Adjugé : 180 000 EUR frais compris Collier composé de quarante-neuf perles fines et dix perles de culture en chute,...
Bijoux & Mode
BIJOUX
Que cache le coffret à bijoux de Madame ?
Souvent quelques parures aujourd’hui difficiles à porter ou un collier en perles fines, que seul notre laboratoire pourra distinguer du même modèle en perles de culture. Pourquoi alors ne pas bénéficier de la spéculation actuelle sur les perles fines (extrêmement intense chez nos acheteurs Indiens) et sur les bijoux griffés des grands joailliers de la fin du XIXe et de début du XXe siècle ?
Glissé parmi les bijoux fantaisie, un collier en corail s’est même envolé pour New-York à 63 700€ ! Et que dire de ce collier de perles adjugé 150 000 €, oublié dans un coffre où les perles asphyxiées menaçaient de mourir ? Délaissés, ces matériaux sont irrémédiablement et inutilement perdus. Il vaut mieux nous contacter auparavant et profiter de la folie Indienne (et pas que !) sur ces matériaux vivants.
Aux Etats-Unis, ce sont les diamants dits « fancy » qui affolent ces dames, une trace de rose, de lilas ou de « yellow » et là, le coefficient multiplicateur s’affole lui aussi… « isn’ t it crazy ? ».
MODE
Outre le Vintage qui apporte chaque année son lot de frissons aux fashionistas ne s’habillant qu’en Hermès des années 60 ou aux collectionneurs et musées pour qui nous sortons des placards la robe du bal des débutantes faite par un tout jeune couturier de chez Christian Dior, du nom alors obscur d’Yves Saint Laurent, nos trésors sont avant tout les étoffes anciennes et de qualité, révélées par notre expert Raphaël Maraval.
Des robes à la française du XVIIIe siècle qui ont survécu aux soirées déguisées des années 50, des habits brodés qui partent rejoindre les collections des musées aux antipodes ou de simples robes en mousseline blanche du XIXe siècle achetées par un grand créateur pour stimuler son prochain défilé (32 000 € tout de même !)
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